L’exclusion ou disqualifiassions sociale comme l’appel serge Paugam est un processus de rupture des liens de l’individu à la société (perte d’emploi, perte ou affaiblissement des liens sociaux), soit des liens sociaux.1 Pour lui le lien social tient à la participation de chacun dans un tout cohérent nommé « le système »2 à travers quatre notions. La « filiation naturelle », c'est-à-dire la famille qui est le premier fondement du lien social. La « participation élective » qui se forme grâce à l’appartenance à un groupe (les amis par exemple). La «participation organique» c'est-à-dire l’apprentissage et l’exercice d’une fonction à travers l’emploi ou l’école par exemple. Et enfin « la citoyenneté », soit l’individu comme inhérent à un système collectif qu’est la nation. En découle nécessairement une culture commune, essentiel pour nous identifier mais aussi nous distinguer. Si un de ces liens n’apparait pas dans la vie d’un individu, ce serait le début d’une rupture sociale qui s’établit par un processus menant en dernier lieu à l’exclusion. La rupture d’un de ces liens social engendre une baisse de l’estime soi et un sentiment de dévalorisation, d’inutilité. Cette crise sociale pourrait être une des causes de l’augmentation de la délinquance. En effet, ces derniers peuvent ressentir une profonde frustration de ne pas parvenir à s’intégrer en société, en famille, à l’école. Il exprimerait alors leur désarroi par la violence. Serge Paugam met notamment cela en lien dans son ouvrage « l’exclusion, l’état des savoir « dans lequel il définit l’exclusion autour de deux concept : le « misérabiliste » et la « populiste ». Le premier désigne le fait de reposer sur la société la responsabilité de l’exclusion. Le second représenté l’autonomie des personnes exclues par des pratiques et des valeurs distinctes de la société globale. Fait qui semble pouvoir être le cas pour les mineurs délinquants.
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Les fragiles sont éloignés de la