Etude
I / Introduction.
Le marché étudié est celui des vins rosés de Provence dans le monde en 2003.
Le marché du vin est en crise mais celui des vins rosés est en croissance en France depuis une dizaine d’années. (Les parts de marché sont passées de 8,4% à 14,7% entre 1991 et 2002.)
II / La demande.
L’aspect quantitatif :
L’aspect qualitatif : Le vin rosé est considéré comme « petit vin » par les français. Perçu comme plus proche de l’univers des boissons en général. Il correspond aux consommateurs hédonistes, simples qui recherchent l’accessibilité, la convivialité et la liberté. Motivations : Fraîcheur, bon rapport qualité/prix Freins : Prix (Il a augmenté de 14,2% en 2002-2003.)
III / L’offre.
Les produits vendus :
Avec une augmentation du prix de 14,2%, le rosé en vrac reste tout de même moins cher que le Bordeaux en vrac ordinaire. Leur production représente 52% en volume et 54% en valeur de la production française des vins rosés. Il est très peu exporté mais représente 4 ,5 millions d’hectolitres.
Les offreurs :
Il y a tout d’abord les producteurs indépendants qui commercialisent leurs récoltes.
Puis on retrouve aussi les producteurs regroupés en coopératives.
La France est le premier producteur mondial de rosés, assurant le quart de la production mondiale.
Le conseil interprofessionnel des vins de Provence veut affirmer sa place de leader mondial en rosé. Des efforts de promotion sont visibles en France et à l’étranger.
La distribution :
Le rosé de provence est présent dans : 100% des hypermarchés et des supermarchés Six restaurants sur dix. 60% des cavistes proposent une à neuf références de rosés de provence.
En GSM, la part de marché des rosés en volume atteint 16,9% en 2002.
IV / L’environnement. Juridique avec la loi Evin : Elle limite la créativité des professionnels au niveau des messages et des supports. Economique avec l’étranger : La