La persistance de la mémoire ( les montres molles) Dali 1931. Musée d’art moderne.
24x33 cm Huile sur toile.

Description de l’oeuvre:
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3 montres au premier plan. La montre à gousset est recouverte de fourmis. La seconde semble se répandre sur la terrasse. La dernière montre est posée sur le coup d’une tête allongée vue de profil comme gisant sur le sol dont la large paupière est close et une langue qui semble sortir d’une bouche ouverte.
Au second plan il y a un arbre qui semble transpercer la terrasse, c’est un arbre mort sur la branche unique du quel est suspendu une montre. A l’arrière plan sur la gauche, un rectangle bleu dont on ne voit que le coté droit, pourrai représenter la surface d’une piscine. A droite et au fond du tableau, sous un ciel bleu et blanc. Les couleurs sombre du parallélépipède, les couleurs froides des montres molles. le gris de la tête et de l’arbre mort crée une atmosphère terne voir sombre. Seule la montre du premier plan offre un coloris orangé plus chaud, mais elle semble dévorée par les fourmis qui les recouvres. En revanche, l’arrière plan grâce à la luminosité du ciel, à la couleur jaune des rochers, semble baigné d’une clarté qui irradie le sol et la terrasse.
Interprétation, un message plus profond sur la complexité du temps. Une réflexion sur la complexité du temps.
La stérilité suggérée par l’olivier mort et le caractère désolé du paysage à l’avant du tableau symbolise. Le caractère inéluctable du temps qui conduit chacun à sa mort. Dali serai alors comme terrassée par ce maitre inflexible le temps.
2 ème interprétation, selon les activités auxquelles on se livre le temps peux paraitre s’étirer indéfiniment ou au contraire fuir trop vite. La relativité du temps serai alors ici mise en évidence.