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Alfred de Falloux met également en place deux commissions portant sur l’enseignement primaire et l’enseignement secondaire. Cette commission est composée de différentes personnalités malgré une majorité de catholiques engagés, doit créer une nouvelle loi concernant la liberté d’enseignement.
L’enseignement primaire est facilement adopté, quant à lui, l’enseignement secondaire amène beaucoup plus de débats. Une partie de la commission déclare que les élèves de l’enseignement secondaire n’ont aucune utilité à être prémunis face au socialisme. Le projet a finalement été présenté le 18 juin 1849 devant l’Assemblée. Suite à la démission de Falloux en 1849, son projet est pris en compte par son successeur Félix Esquirou de Parieu
Félix Esquirou de Parieu
Ce projet de loi suscite énormément de discussions importantes. Victor se fait remarquer en exprimant de vive voix son jugement de l’influence du clergé catholique qu’il juge excessive. Victor Hugo
L’organisation administrative
La loi Falloux admet une académie dans chaque département. Chacune de ces académies est dirigées par un recteur assisté d’un conseil académique.
La loi Falloux réorganise le conseil supérieur de l’instruction publique ainsi que les conseils d’académie. Plus particulièrement, elle élargit la place des représentants des différents cultes, surtout le culte catholique.
Au Conseil Supérieur de l’Instruction Publique, il siège :
Huit membres de l’Université
Sept représentants des cultes dont quatre catholiques
Trois conseillers d’état
Trois membres de l’institut
Trois membres de l’enseignement Libre
Le fonctionnement de l’enseignement primaire et secondaire
Suite à la loi Falloux, l’enseignement primaire et secondaire se retrouve divisé entre l’enseignement public (géré par l’Etat, les communes, ou encore les départements), et l’enseignement privé (géré par les particuliers, les associations, ou encore les