Etude de cas
1)
Prenons l’exemple d’un formateur en éveil à l’entrepreneuriat dont le but est de sensibiliser les jeunes à la création d’entreprise. Il doit étudier à l’avance pourquoi les jeunes dans un endroit donné, se lancent en affaire, car la disparité pourrait être mesuré par régions à l’intérieur d’un pays et non par continent.
Les jeunes se lancent en affaire soit par besoin d’indépendance, d’accomplissement de soi, d’argent, de survie, de subvenir aux besoins de son ménage ou de sortir du chômage.
Plusieurs raisons seront évoquées par les jeunes dépendamment de leur situation. Il ne faut pas que le formateur sensibilise un jeune de se lancer en affaire par besoin de réalisation de soi si ses besoins physiologiques ne sont pas satisfaits.
On ne peut pas satisfaire tout les besoins des jeunes, savoir mettre la priorité dans tous ses besoins est un bon début pour un formateur en entrepreneuriat.
Il faut favoriser le travail de groupe diversifié. Plus un groupe est diversifié, plus les idées seront nombreuses et il y aura moins de risques car les personnes ont différentes façons de percevoir des choses. Selon Saint-Exupéry : « Celui qui diffère de moi, loin de me léser, m’enrichit. ». En effet, l’intégration de personnes différentes au sein d’un groupe mène à un sain équilibre et un grand éventail de compétences.
2)
Un chercheur au nom de Tuckman a défini des niveaux de maturité d’un groupe :
La formation (Forming) : Le groupe se forme et les membres de l’équipe ne se connaissent pas encore.
Les turbulences (Storming) : Il y a des conflits qui surgissent à mesure que les membres de l’équipe commencent à se connaître.
La normalisation(Norming) : Sachant les qualités de chacun, le groupe commence à créer des règles de conduites et de fonctionnement.
La performance (Performing) : Le groupe se connaît bien et avance vers le but qu’il s’est défini au début.
Dans un groupe, il faut non seulement que l’équipe soit diversifiée (comme