Etude de cas: stratégie IKEA
Vision/Culture :
Débrouillardise (les clients montent eux-mêmes leurs meubles), économie (réduction des dépenses, philosophie de l’avarice)
Management égalitariste qui favorise une idéologie de consensus (mêmes uniformes, tutoyement, pas de signes hiérarchiques).
Forte culture d’entreprise : apprentissage des valeurs, de l’histoire de l’entreprise, des salaires avec intéressement et participation (buzz sur la répartition des bénéfices entre tous les salariés). La formation à quasi valeur d’endoctrinement
Les valeurs sont aussi transmises aux clients : débrouillardise et économie.
L’image de marque
- le capital appartient à une fondation (satisfaction des clients prime sur l’enrichissement personnel des dirigeants).
- image d’une entreprise écologique et soucieuse de la planète (lutte contre le réchauffement climatique).
- produit suédois
Maitrise des chaines d’approvisionnement, de production et de distribution (Intégration et contrôle de toutes les étapes du produit)
Sous-traitance maitrisée : Ikéa impose les spécificités et les prix, ils tirent les prix vers le bas et donc les salaires et ne sont pas vigilants quant aux embauches d’enfants ou autres.
Mise en concurrence des bureaux d’achat
Politique de prix bas pour augmenter sa competitivité. Fabrique en Europe et en Asie
Investissement massifs dans l’extension du réseau de magasin et la rénovation des shops.
Diversification et adaptation des produits au marché
Localisation des magasin stratégique (proche des autoroutes) + location des alentours aux commerces pour créer des centres commerciaux.
Agencement spécial des magasin avec meuble in situ et parcours fléché qui oblige à passer par tous les produits/
Concentration sur les segments de marchés porteurs
Marketing/Communication
Initialement une communication basée sur le prix (pour les radins) et décalée maintenant sur l’identité de l’entreprise (danger)
Une communication tout en humour et coaching.
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