Etude de cas, aire urbaine grenobloise
1) La tradition industrielle grenobloise est originale car elle repose sur les relations permanentes entre les entreprises et les universités ainsi que des centres de recherches scientifiques. Elle possède également des réseaux de transports performants comme des voies rapides, des lignes de tramway, des réseaux ferroviaires, et d’autres en projets.
2) Les clusters de recherche ont pour objectif de promouvoir, fédérer et structurer un réseau de laboratoires ou d’équipes. Cette tradition industrielle a pu faciliter la création de clusters grâce aux bonnes relations entretenues entre les centres de recherches et les universités, qui favorisent l’émergence de nouvelles disciplines comme les mathématiques et l’informatique.
3) On remarque que depuis 1936, le nombre de d’habitants en agglomération et en aires urbaines a fortement augmenté. Tandis que le nombre d’habitants en commune stagne. Cela montre bien le développement industriel de la ville puisque de nombreuses entreprises peuvent y être installés et donc offrir plus du travail. On voit aussi que la périurbanisation se fait 8km autour de Grenoble, et que le solde migratoire est négatif et positif dans un rayon de 8 à 30km, les habitants du centre de la ville se déplacent donc vers l’agglomération.
4) La population a énormément augmenté en agglomération et aires urbaines car le développement industriel et l’émergence de nouvelles entreprises permet d’offrir du travail aux habitants. La population peut donc être influencée par l’offre de travail qui est mis à disposition.
B) En quoi Minalogic est-t-il un pôle de compétitivité de niveau mondial ?
1) Minalogic relève de « l’écosystème grenoblois » car il est l’un des 6 pôles de compétitivité mondiaux labellisés. Il participe à « l’écosystème grenoblois » qui allie industrie, formation, recherche. Minalogic est constitué de deux clusters, un dans le domaine des nouveaux matériaux pour