Etude de ca l'oréal
Le principal argument en faveur de la première solution est l'intégration des processus. En effet, la partie e-procurement (commande et approvisionnement en ligne), fait généralement partie des processus courants de l'entreprise, et les offres des éditeurs d'ERP sont depuis longtemps matures en la matière. La partie e-achat, en amont, résulte plutôt de partenariats étroits ou de rachats d'éditeurs spécialisés.Des offres maturesAinsi l'offre Advanced Procurement d'Oracle comprend la partie historique iProcurement, un module dédié à l'utilisateur, lui offrant une interface libre service pour effectuer les expressions de besoin, des catalogues et liens vers des catalogues externes, plus récemment complété par le module Services Procurement pour la commande de services et autres biens difficiles à cataloguer. Pour la partie SRM, iSupplier Portal permet de gérer toutes les interactions avec les fournisseurs. Quant à la partie sourcing, pour les négociations avec les fournisseurs, appels d'offres et enchères, elle résulte historiquement d'un développement fait en 2000 avec Carrefour et Sears, qui avait abouti à la place de marché GNX (Global Net eXchange). « Cet outil autonome a été intégré dans Oracle E-Business Suite. Il est disponible à la fois pour les clients de cette suite en tant que add-on, ou de manière autonome, en mode SaaS ou on-demand », explique Jean-Pierre Nakache,