ethique
Je dois vous avoué qu’au départ, j’ai réellement envisagé de changer mon mode de vie en diminuant ma consommation de viande, ce qui signifie que le réalisateur a réussit à faire passer son message extrémiste. Toutefois, après mure réflexion, j’ai constaté que le réel but de ce documentaire était de nous faire peur et de nous faire adhérer au soit disant remède : le végétarisme. Le documentaire nous montre seulement un côté de l’histoire, ce qui, selon moi, nuit à leur crédibilité. Il n’est pas vrai qu’en tuant des animaux dans le but de se nourrir est un manque de respect. Selon nous, il s’agit plutôt de la poursuite de la chaine alimentaire. Au même titre qu’il n’est pas mal qu’un prédateur mange une proie en milieu naturel. Toutefois, il est vrai qu’il y a de l’exagération dans les quantités de viandes produite. En 2011, selon statistique Canada, 669 564 animaux de la ferme ont étés exploitées dans le but de nous nourrir, ce qui es selon nous, beaucoup trop. En 2000 : 229 millions de tonnes de viandes consommées dans le monde. En 2050 : 465 millions de tonnes de viandes le seront. De plus, une grande partie de cette viande se retrouve malheureusement dans les ordures à la fin du repas. « Une baisse de 50% de la consommation de viande en Occident d’ici 2020 permettrait de diminuer de 3,6 millions le nombre d’enfants souffrant de malnutrition dans les pays en voie de développement.»1 Si tout le monde deviendrait du jour au lendemain végétarien, nous n’améliorions pas la