Eta français historique
• 28 juin 1960: première victime mortelle de l’ETA: une fillette de 18 mois est tuée par l’explosion d’une bombe dans la gare d’Amara de Saint Sébastien.
• Mai 1962 : 1ère assemblée de l’ETA au Monastère de Belloc, à Bayonne où l’ETA se dé-crit comme le mouvement révolutionnaire basque de libération nationale.
• 7 juin 1968 : seconde victime mortelle de l’ETA (souvent considérée comme la pre-mière). Un garde civil est tué lors d’un contrôle routier.
• 20 décembre 1973 : assassinat de l’Amiral Carrero Blanco à Madrid
• 13 septembre 1973 : premier attentat de masse. Douze personnes sont tuées et 80 blessées par l’explosion d’une bombe dans une cafétéria madrilène.
• 15 octobre 1977 : amnistie pour les membres de l’ETA emprisonnés durant la dictature franquiste.
• Années 1980 : pendant ces années sévissent les GAL (Groupements Antiterroristes de Libération) dont l’activité consistait à éliminer les membres supposés de l’ETA.
• 1982 : disparition de la branche de l’ETA politico-militaire (les polimilis)
• 1984 : la France autorise l’extradition de trois prisonniers membres de l’ETA vers l’Espagne. La coopération entre les deux pays commence.
• 18 juin 1987 : l’explosion d’une voiture piégée dans le parking d’un supermarché barce-lonais cause la mort de 21 personnes.
• 1989 : le Gouvernement de Felipe Gonzalez essaie de dialoguer avec l’ETA pendant les-dites Conversations d’Alger, le temps d’une trêve de trois mois.
• 1992 : avec ledit « coup de Bidart », la direction de l’ETA est démantelée après l’arrestation de ses principaux membres dans le village français de Bidart.
• 12 septembre 1998 : Pacte d’Estella : les partis nationalistes basques signent un pacte pour la recherche de la souveraineté du Pays Basque et la fin du terrorisme.
• 16 septembre 1998 : L’ETA annonce une trêve indéfinie et sans