Est-il immoral de faire souffir un animal ?
J'ai insisté particulièrement, lors de la lecture des introduction, sur cette nécessité de lier très attentivement toutes ses phrases, ses paragraphes, de ne pas faire de sauts logiques, de ne pas voleter d'une idée à l'autre, mais de soigner tous les liens logiques, les transitions, afin d'avoir un raisonnement qui se tienne
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Alice Beigbeder TL 5 le 20 / 11
Dissertation
L'immoralité de la souffrance animale
17/20
C'est très bien, très rigoureux, toujours très clair, félicitations pour ce travail. Peut-être le plan est-il à revoir, en ce que l'opposition finale utilitarisme/humanisme aurait mieux trouvé sa place dans le cours du raisonnement plutôt qu'en une "synthèse" qui n'en est pas vraiment une. Mais vous avez su très bien reprendre le travail fait en cours, et j'ai une grande satisfaction à voir qu'il vous profite bien. Des références aux auteurs étudiés qui fondent les idées que vous développez donneraient une assise culturelle à votre réflexion, vous avez les moyens de les mentionner, ne vous en privez pas.
Pour peu que nous ouvrions une revue scientifique, ou même que nous voyions une campagne de sensibilisation menée par une quelconque association, nous sommes confrontés à cette réalité : que ce soit pour la recherche scientifique, médicale, les tests de produits, cosmétiques comme alimentaires, ou encore pour la fourrure, l'ivoire, etc..., nous faisons souffrir des animaux, tous les jours, en grand nombre. Tous les jours, des animaux sont tués, sont utilisés pour tester l'absence de nocivité des