enzix iksenfzionh zfoenrg
Ran
J< de eh'ajhaé'hta'édfqsfbAURBHIUZ
F
BE
DBH
EZSTH
RT
J
YZJRSTIUSRJHNVIUSHVUIHDIUHVB ISDBGGR
RFF F F F F F F F F F F F F F F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
F
- la maîtrise des gestes : " il ne se pressa pas ", " avec une science réfléchie ".
- la beauté des mouvements : "jeu [...] balancé et souple "
- la régularité : " à grandes volées régulières ", " en cadence "
- l’élégance : importance de la métaphore filée de la danse : l’artisan et son marteau (personnifié sous les traits d’une femme " Fifine ") forment un couple : " Fifine [...] s’enlevait, retombait en cadence, [...] menuet ancien [...] tapaient la mesure "
Mais tous ces termes mélioratifs sont opposés à des termes péjoratifs se rapportant au travail du rival : " ne dansait pas un chahut de bastringue ", " guibolles emportées par dessus les jupes " : allusion au marteau de Boit-sans-Soif.
Enfin, Goujet symbolise :
- la sobriété : " ce n’était pas de l’eau-de-vie [...] c’était du sang, du sang pur " : Zola fait donc l’éloge de l’ouvrier sobre et montre sa supériorité sur l’alcoolique.
IIème axe de lecture : La métamorphose de Goujet :
Goujet (la Gueule d’Or) est pris en charge par le regard de Gervaise et il va se métamorphoser successivement en un héros courtois (chevalier), en surhomme et enfin en un dieu.
- un héros courtois : Goujet va se battre vaillamment comme un héros courtois pour sa dame (" il jeta [...] un regard plein d’une tendresse confiante ") : amour pur, courtois.
De plus, le défi qu’il jette à son rival est comme la transposition d’un duel médiéval entre deux chevaliers.
- un surhomme : puis le forgeron au travail s’impose par sa musculature imposante. Imortance des hyperboles : " un homme magnifique ", " un cou pareil à une colonne ", " une poitrine vaste, large ", " des épaules et des bras sculptés [...] copiés sur ceux d’un géant ", " des montagnes de chair " : Zola utilise le vocabulaire de la