Entrainement
Premièrement l'entrainement excessif ne correspond pas au surentraînement qui est une obsession à l'entrainement.
L'entraînement excessif:
L'entraînement excessif
La nécessité de longues périodes d'entraînement est sérieusement remise en cause par les chercheurs. Il est mis en évidence pour certains sports du moins, que la quantité d'entraînement pourrait être réduite significativement et certainement pour la moitié des sports, sans pour autant en réduire les bénéfices, et de surcroît en diminuant le risque du surentraînement parmi les athlètes.
Un entraînement excessif consiste en un entraînement beaucoup trop volumineux ou beaucoup trop intense, ou les deux. Il n'améliore pas la condition physique et conduit au contraire à l'installation d'une fatigue chronique et à la baisse de performance parce que les réserves de glycogène musculaire s'effondrent.(c'est un glucide assez complexe qui sert a stocker l'énergie chez les animaux dont l'Homme, principalement dans le foie et dans les cellules musculaires. C'est l'équivalent de l'amidons chez les végétaux)
Pour augmenter le volume d'entraînement, on peut augmenter soit la durée, soit la fréquence des séances. Au delà d'un certain volume d'entraînement, celui-ci est sans effet positif supplémentaire. De nombreuses études ont ainsi montré que le gain de performance est identique qu'on s'entraîne une fois par jour ou deux fois par jour.
C'est l'intensité de l'entraînement qui détermine les adaptations spécifiques. Des entraînements brefs mais de haute intensité sont bien tolérés sur des périodes courtes. Ils augmentent la force musculaire mais ont peu d'effet sur la capacité aérobie. A l'inverse, des entraînements longs et d'intensité plus modérée stimulent le système de transport de l'O2 et le métabolisme oxydatif, améliorant à terme la capacité aérobie.
Le surentraînement:
Persuadés que le gain de performance est proportionnel à la quantité