Emile zola
La bête humaine est le 17 volumes des Rougont-Macquart du romancier naturaliste Émile Zola. Les Rougonts-Macquart était « l'histoire naturel et social d'une famille sous le second empire ». Tout le but est de montrer sur plusieurs génération l'influence du milieux et de l'hérédité. Le roman met en scène Jacques Lantier, mécanicien, soufrant de pulsion meurtrière dû au femme. Juste avant ce passage, Jacques à failli tuer Flore. Il y préfère fuir et il va errer dans la campagne desserte. L'arrivé d'un train va l'agresser et il sera témoin d'un meurtre ( meurtre de GrandMorain par Rougaux). Nous verrons en quoi cette scène de meurtre se transfigure en vision fantastique.
I) La dramatisation de la scène:
A) Une apparition agressive:
Le train arrive en pleine nuit et en pleine campagne, « la paix morte de la campagne » ligne 14. Il y a un effet de contraste, de choque, on le voit avec les verbes de mouvement, ligne 2 « jaillit », ligne 3 « troua ». L'utilisation du passé simple qui montre la brutalité de la scène. L'apparition vient rompre la monotonie et nous fait rentrer dans une atmosphère cauchemardesque. On peut souligner le bruit et la vitesse « fracas » ligne 2. Cela évoque l'intensité et la nuisance du bruit quand à la rapidité « coup de foudre » ligne 4, « un tel vertige de vitesse » ligne 6 = allitération ( harmonie imitative en V). Cette rapidité est montré par des connecteur: « pour de suite » ligne 4 ; par des connecteur représentatif « c'était une apparition » ligne 4, « ce fut la machine » ligne 2. Il y a donc un bouleversement des sens par l'apparition du train.
B) Le rôle de la lumière:
La lumière a un rôle important, on le voit par le champs lexical « s'éclairer » ligne1 , « l'éblouissement » ligne 2, « lanterne » ligne 3, « l'éclairée » ligne 5. La lumière est justifiée par la sortie du tunnel et la nuit. Mais la lumière, ici, n'est pas positif, elle est vu de façon agressif « l'incendie troua ... »