Emile zola
Il faisait beau, il y avait des nuages, mais informes et tout effilochés on avait pas envie de les regarder. Le père observa son fils qui s'amusait a chasser avec le bout de ces soulier le gravier qui se trouver devant, cela avait pour habitude de l'agacer mais cette fois il ne dit rien et son comportement semblait être trouble.
La route s'engageait sous les arbres. La plupart était encore sans feuilles. Quelques-uns verdoyaient un peu, des petites feuilles d'un vert très propre et très clair. On se demandait même si elles n'étaient pas un peu sucrées. Plus loin la route tournait, le père montrerait la Grande Vue, sur le Grésivaudan, le grand rocher qui tombe a pic, et là dessous tout en bas les arbres, les maison, les routes, L'Isère qui serpente sous une brume légère. Le père et son enfant s'arrêteraient et il dirait a son petit garçon " Regarde le petit train", ou bien : " Tu vois la petite tache noire, là, qui bouge sur la route? C'est une auto. Il y a des gens dedans. Quatre personnes, une dame avec un petit chien et un monsieur avec une grande barbe et son fils lui répondrait " Comment que tu les vois?" Son père lui reponderait alors qu'il c'est fait greffer une petite lunette dans l'œil gauche en écarquillant son œil et peux être que le père prendrait son fils sur ces épaules en riant.
Mais le père regarda distraitement la Grande Vue et ne s'arrêta même pas. Il tenait la main de son petit garçon bien serré dans la sienne. De sorte que quand un peu plus loin on passa prés de l'endroit où le bord du fossé monte et descend, son petit garçon ne puisse lâcher la main de son père pour grimper la petite pente en disant " Regarde, papa, je grandis... je grandis... je grandis.... Regarde maintenant je suis plus grand que