Chapeau :
Après avoir vu que cette élite politico-administrative était unique en son genre et baignée dans un rare prestige, il faut maintenant voir que la place de la haute administration dans le pouvoir est incertaine avec notamment l’accès a des élites administrative aux postes politiques qui est une nouveauté constestable et que ce prestige va en s’atténuant. A) L’accès a des élites administratives aux postes politiques, une nouveauté contestable
Entre les règles Constitutionnelles et la rélaité politique s’impose une pratique : à l’origine il y avait une subordination de l’administration au pouvoir politique puis s’est imposé au fur et à mesure une pratique qui en premier lieu relève une mrge d’autonomie que l’administration et la haute administration a su conquérir sous la III° République et renforcer sous la IV° République et deuxièmement une pratique qui a permis une intervention de la haute administration dans la politique qui est censée être subordonnée ou pour mieux comprendre, un double mouvement d’ingérence entre ces deux blocs ce qui se nomme la politisation de l’administration, ça n’a pas été prévu dans les tetes de la constitution et ça s’est révélé être le fruit de la pratique et ça porte directement atteinte à la règle démocratique de la subordination de l’administration au pouvoir politique.
L’héritage d’un capital culturel et social gomme largement le principe démocratique et égalitaire des concours censés sanctionner les seuls mérites scolaires, vis-à-vis de la démocratie c’est inéquitable car les couches les plus défavorisées ont beaucoup plus de chance de réussir, car à l’entrée de l’ENA et de Polytechnique 2 à 15% seulement des effectifs proviennent des couches ‘modestes’. La resprésentation de toutes les minorités est comprimise.
Il faut aussi souligner que même si une grande majorité des ministres de la V° République possèdent un mandat un mandat parlementaire avant d’accèder au gouvernement, mais la voie d’accès la plus