Economie: cleveland contre wallstreet
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. WALL STREET. VS . CLEVELAND. Suite a une série d’expulsions dans la ville de Cleveland, les nombreuses familles qui se retrouvèrent a ce moment la a la rue décidèrent de trainer en justice les 21 banques chez qui elles avaient contracté des subprimes (sortes de crédits comportant plus de risques pour le préteur, mais au rendement bien plus avantageux.) Elles leur reprochent aujourd’hui l’inaccessibilité des taux d’intérêts, lesquels sont en effet relativement élevés, (à partir de 8,5%) et dont le remboursement a achevé de les « mettre sur la paille ». Le film est constitué de différents témoignages, forgé de diverses opinions, qui prennent parti soit pour les habitants de cette ville « fantôme », désormais, soit pour les toutes puissantes banques de Wall Street dont le représentant légal est l’avocat Keith Fisher. Pour la partie civile, on retrouve, l’avocat Josh Cohen et comme porte parole des familles nouvellement expulsées, Mme Barbara Anderson. Les témoignages de Anthony Brancattelli,( lequel dit avoir recensé des milliers d’expulsions en 5 ans, et qui explique aussi que les premiers touchés par la crise immobilière de 2008 furent les contracteurs de crédits subprimes.) ou encore celui de Michael Osinki,( économiste de profession, salarié de la banque Solomon Brothers dans les années 80-90 et qui nous rapporte plusieurs interruptions asynchrones (contraire de synchronisée) qui traduisent des rentrées d’argent massives prêts non régulés de la part de Wall Street, ainsi que son étonnement lors de la découverte des rendements enregistrés par l’entreprise, inhérents aux subprimes ; Ex : au lieu de 7% pour un crédit auto, la banque encaisse un pourcentage de 15%) témoigne d’un certain manque d’informations chez les clients ; en effet « le but du système est