Ecole réduction des inégalités
A. Une dynamique favorable …
1. Une démocratisation en marche depuis le 19ème siècle, socialisation des classes populaires (doc. 2). Entrée des filles à l’école, collège unique…
2. Un constat toujours actuel : l’école réduit les inégalités sociales en s’ouvrant au plus grand nombre (thème de la démocratisation) : quelles soient les CSP, de plus en plus d’élèves entrés en classe de sixième obtiennent le baccalauréat, un rythme favorable aux enfants issus de couches sociales « populaires » … (doc. 4). Les enfants d’ouvriers ont de plus de grandes d’accès à une profession supérieure ou intermédiaire lorsqu’ils sont détenteurs d’un diplôme supérieur (doc. 6). De plus en plus d’étudiants à l’université (doc. 5)
B. … Qui répond à un projet historique de réduction des inégalités
1. Il y a la croyance collective en un idéal démocratique : l’idéal égalitaire et méritocratique (doc 2), la massification comme réponse aux frontières de classe…
2. Une diversification croissante de l’offre scolaire répondant à des impératifs contemporains : nouveaux lycées, séries, filières ; nouveaux enjeux (hypothèse des 80 % au bac ; discrimination positive, ZEP, justice sociale et équité).
IlI. … L’école n’efface que partiellement les inégalités
A. Une pratique méritocratique « contrariée »…
1. Des inégalités demeurent : la réussite au baccalauréat diffère selon l’origine socioprofessionnelle (doc. 4), et de même pour le taux d’accès à l’université (doc. 5). Des chances d’accès aux professions supérieures toujours favorables aux enfants des couches moyennes ou supérieures (doc. 6), selon les diplômes…
2. Des destins sociaux toujours contraints (doc 1 : table de destinée)
B. … Qui, en réalité, questionne la légitimité de l’idéal démocratique à l’école (doc. 2)
1. … D’abord, il y a une offre scolaire qui peut renforcer des inégalités (type de lycée, localisation, etc.)
2. De