Le virus de la famille des filovirus tient son nom d'une rivière qui coule aux abords d’une petite localité du nord de l'actuelle République démocratique du Congo.
C'est là qu'en 1976 est identifiée, pour la première fois, cette fièvre hémorragique.
Elle fait alors 318 morts dans cette zone, et 284 autres au Soudan, où un autre foyer est découvert simultanément.
Redouté de la population, pour ses symptômes effrayants (vomissements, eruptions cutanés, diarées, insuffisance rénale, hémoragie interne, externe, maux de tête, fortes fièvres, faiblesse intense, douleurs articulaires, douleurs musculaires, irritation de la gorge), son mode de transmission angoissant (contact direct: peau lesée, muqueuses, liquides biologiques, seringue infecté) depuis son apparition en 1976, il est à l'origine de la mort d'environ 2 000 personnes et plus de 4 000 personnes infectés en décembre 2013, bien loin des 660 000 Africains tués chaque année par le paludisme.

L’origine de ce virus reste problématique, puisque l’origine varie selon les sources:
→ Selon, http://www.wikistrike.com/2014/08/virus-ebola-un-projet-americain.html, le virus Ebola serait une arme bactériologique d’un projet américain nous permettant de répêter pour la prochaine pandémie mondiale. Certaines sources de ce site indiquerait qu’une souche du virus Ebola connue en Afrique centrale aurait été utilisée comme base par des bioingénieurs afin de la transformer en maladie respiratoire hybrid constituée d’un mélange du virus d’Ebola et de la fièvre hémorragique de Lassa. L’Université Tulane, l’Army Medical Research Institute of Infectious Diseases et l’hôpital publique de Kenema au Sierra Leone seraient responsables de l’épidémie qui sévit actuellement et qui pourrait s’étendre dans d’autres pays prochainement. Ces mêmes sources affirment que le département médical de l’Armée et l’Université Tulane ont utilisé des sujets souffrant de la fièvre de Lassa, à l’intérieur d’un programme où les malades n’étaient pas