Délinquance
a) Le rôle des parents
La délinquance peut apparaître dans le foyer familial dès l’adolescence. La délinquance concerne souvent les enfants qui vivent dans des familles éclatées. Le nombre de familles « monoparentales » augmente régulièrement ; les troubles du comportement chez un enfant ou un adolescent apparaissent moins souvent dans des familles monoparentales « équilibrée » que dans des familles recomposées. Cette dernière représente un lieu de conflit dans certains cas.
La délinquance peut naître dans des familles d’un milieu défavorisé. Les parents peuvent être au chômage ce qui entraîne, un faible salaire et donc une impossibilité de payer des loyers chers (petit appartement au lieu d’une maison capable de recevoir toute la famille). Ceci favorise le désir de s’échapper de la maison de la part des jeunes. Les parents ne gagnant pas assez d’argent ne font pas partis d’un niveau social élevé, les jeunes veulent gagner de l’argent par tout les moyens afin d’atteindre ce niveau social.
b) Le problème urbain
Il existe un facteur de délinquance liée au taux d’urbanisation de certains quartiers. Le taux de chômage et la ségrégation spatiale (regroupement de personnes : ghettoïsation) fait apparaître une culture « de rue » qui favorise la délinquance. Ces quartiers sont beaucoup plus criminogènes.
Emeutes urbaines à Villiers-le-Bel, Le Figaro, le 27/12/2007
c) Problèmes de délinquance à l’école
Les jeunes sont absents en cours, ils ne réussissent pas leur apprentissage, donc ils n’ont pas de diplôme. De plus, on observe des dégradations des locaux scolaires, des problèmes de racisme dans les collèges et les lycées, ainsi que de la violence entre les élèves.
Il y a aussi, des phénomènes de racket, de viols qui sont les aspects les plus fréquents de la délinquance juvénile. Par conséquence, les jeunes n’ayant pas d’expérience professionnelle, les patrons n’embauchent plus les jeunes, et