Définition : la résistance
12ème Philippe
Histoire : Définition de la résistance
On appelle « résistance » l’action clandestine qui est menée, par des organisations civiles et militaires contre l’occupant de son territoire. Pendant la seconde guerre mondiale, l’ennemi était l’Allemagne.
Les objectifs de la résistance sont d’envisager une future prise du pouvoir, des institutions et d’agir sur la société de l’après-guerre, une fois l’occupant vaincu.
Pendant la seconde guerre mondiale, la résistance s’est divisée en beaucoup de réseaux et de mouvements, qui se sont agrandis petit à petit, et chaque groupe agissait de manière indépendante.
La volonté de se soulever contre l’occupant peut venir de différents facteurs. Lors de la seconde guerre mondiale, l’antifascisme et le patriotisme. Mais d’autres valeurs ont également poussé les gens à s’engager comme le pro-communisme, l’anglophilie, la solidarité, la germanophobie, mais aussi le goût de la justice, de la démocratie, et de la liberté.
La résistance lors de la seconde guerre mondiale, s’est développée surtout dans certains milieux, comme la petite et moyenne bourgeoisie qui comptaient le nombre le plus élevé de résistants, du fait des valeurs généralement patriotiques et conservatrices de celles-ci. Elles rassemblaient aussi tous les antifascistes, et les campagnes étaient souvent menées par des anciens combattants de la grande guerre qui ont gardé leur esprit patriotique. Le nombre de résistants a fortement augmenté pendant la guerre, notamment à cause de la germanophobie, de l’idéologie Hitlérienne et de la rancœur contre les collaborateurs.
On distingue deux types de résistances, la résistance armée ou pacifiste mais dans les deux cas les clandestins ont pour but d’aider les forces alliées et de perturber l’occupation d’un agent extérieur. La résistant pacifiste consiste à soutenir les alliés, en transmettant des informations capitales. Tandis que la résistance