Durkheim
Texte de Durkheim :
1.
L'idée générale est, à la fin du texte, bien formulée: "Une telle cause ne peut donc donner naissance qu'à des rapprochements passagers et à des associations d'un jour". Autrement dit l'intérêt n'est pas le fondement du lien social. Cette idée générale peut aussi être qualifié comme dualité de la vie et de ses principes. Chaque intention, renferme son contraire de manière binaire ou dual.
2.
a) Pourquoi l’auteur dit-il que dans un échange « les consciences ne sont que superficiellement en contact » ?
La raison de son affirmation sur les consciences qui ne sont pas superficielle en contact est qu’ils n’adhèrent pas l’unes aux autres. Les échanges ce font sans que les consciences n’interviennent.
b) Pourquoi « toute harmonie d’intérêts recèle-t-elle un conflit latent ou simplement ajourné » ?
Toute harmonie d’intérêts règne seul. L’égoïsme en présence de chacun pousse les individus à un conflit avec un autre individu. On dit donc que c’est un conflit latent et simplement ajournée.
3.
A première vue, en se demandant si le lien social peut reposer sur l’intérêt de chacun, on peut se dire que le moteur du lien est l’additionnement des intérêts individuels. En revanche, on peut aussi chercher d’autres liens existants entre les individus. Ceux-ci ce généralise par des liens superficiels ou encore éphémères. Dans cette réflexion, on pourra de même réfléchir sur les intérêts dans la création de lien social entre individus.
Au sens le plus large et le plus vague le terme lien social rend compte des relations entre les individus qui forment une collectivité humaine quelconque, famille, tribu, nation, entreprise, etc. L’addition des intérêts personnels ne permet pas de créer un lien social. La question pose d'abord le problème d'exclusivité avec « unique » qui nous fait pencher sur le problème de l'exclusivité totale ou des différentes façons de voir l’intérêt qui relève de l'avantage convenant à