Du génotype au phénotype moléculaire
Les protéines codées par le génotype déterminent le phénotype. Cependant, un chromosome porte plusieurs gènes, eux-mêmes distinguables en deux allèles identiques ou non, il y a donc beaucoup de possibilités différentes. De plus, un ARNm subit plusieurs épissages, où l’on transcrit à chaque fois des séquences nucléotidiques différentes, on obtient donc une infinité de possibilités, ce qui donne à chaque fois un phénotype moléculaire différent. C’est ce qui est responsable de la diversité des individus.
L’organisme peut se permettre de produire différents types de globines au cours du temps, car son matériel génétique le lui permet. En effet, le génotype code une séquence d’acide aminé qui détermine la forme, et donc la fonction de chaque protéine. En prenant en compte le fait qu’il y ait 20 acides aminés existants sur terres, et le fait que ceux-ci peuvent s’assembler de toutes les manières possibles, on réalise qu’une infinités de protéines peuvent être créées. Une fois de plus, c’est ce qui est responsable de la diversité des individus.
Pour conclure et répondre au problème, le phénotype moléculaire est déterminé par le génotype, qui est codé par une séquences de nucléotides, qui elles même vont coder un ARNprémessager , qui, après épissage, va coder une séquences peptidiques, formés d’acides aminés, formant, et déterminant la fonction de la polypeptide (protéine) alors produite.
THEME 1A / CHAPITRE 3 / TD2 : DU GENOTYPE AU PHENOTYPE MOLECULAIRE
Les protéines codées par le génotype déterminent le phénotype. Cependant, un chromosome porte plusieurs gènes, eux-mêmes distinguables en deux allèles identiques ou non, il y a donc beaucoup de possibilités différentes. De plus, un ARNm subit plusieurs épissages, où l’on transcrit à chaque fois des séquences nucléotidiques différentes, on obtient donc une infinité de possibilités, ce qui donne à chaque fois un phénotype moléculaire