Du génotype au phénotype.

Chapitre 1 : le phénotype dépend des protéines

L’ensemble des caractères observables d’un individu constitue son phénotype avec : * Des caractères morphologiques (cheveux, yeux, formes), anatomiques c’est le phénotype macroscopique. * Des caractères physiologiques (diabète) c’est le phénotype macroscopique. * Des caractères cellulaires (structures, formes) c’est le phénotype cellulaire. * des caractères moléculaires (groupe sanguin, hémoglobine, protéines) c’est le phénotype moléculaire.

I- la réalisation du phénotype. Les phénotypes macroscopiques dépendent des phénotypes cellulaire et moléculaire. Les cellules peuvent avoir : * des aspects * des tailles * des formes * des couleurs différentes.

II- les protéines.

Ce sont des molécules constituées d’acide aminés, il en existe 20 (acides aminées). Si un acide aminé est différent, une liaison ne se met pas en place et la protéine aura une structure tridimensionnelle anormale et perdra donc sa fonction.

III- phénotypes alternatifs et variante protéique.

Pour un phénotype donné il existe plusieurs phénotypes qualifiés d’alternatifs. Le phénotype « normal » le plus rependu est qualifié de « sauvage » et ses variantes sont dites mutantes.

Les phénotypes alternatifs sont toujours dus a ses protéines. Les protéines peuvent être non-fonctionnelle, ne pas être fabriquer ou en trop petite quantité.
Les protéines peuvent être trop longues ou trop courte.

Conclusion.
Dans tous les cas les phénotypes d’un même caractères apparaissent totalement conditionné par les caractéristiques des protéines.

Chapitre 2 : l’activité enzymatique.

I- qu’est-ce qu’une enzyme ?
C’est une protéine soluble, elle augmente la vitesse des réactions biochimiques sans subir de modifications. Elle est encore fonctionnelle à la fin d’une réaction. Elle agit à concentration très faible et est toujours synthétiser par une cellule vivante. C’est