Du cote de chez swann
L'auteur se consacre alors au récit de la vie de la famille du narrateur, de ses domestiques et des habitants de Combray, donnant lieu à des peintures de personnages pleins d'humour (le snobisme de l'ingénieur Legrandin, la cruauté de Françoise envers la fille de cuisine...).
Le côté de Méséglise, ou de chez Swann, et le côté de Guermantes[modifier]Le narrateur évoque ensuite les promenades quotidiennes effectuées du côté de Méséglise (ou de chez Swann) lorsque le temps était incertain, et du côté de Guermantes lorsque le beau temps le permettait. Ces deux côtés sont les gisements profonds de mon sol mental.
Le côté de Méséglise est associé au mauvais temps. C'est le côté des odeurs, surtout celle des aubépines lesquelles le narrateur apprécie énormément jusqu'à verser des larmes en leur disant adieu ; du désir charnel, et de l'échec de l'intelligence. Cherchant à exprimer son ravissement devant la mare de Monjouvain, le héros ne parvient qu'à une éjaculation verbale « zut ! zut ! zut ! ». C'est de ce côté qu'il observe la scène de sadisme entre la fille de Vinteuil et son amie ; c'est de ce côté que Gilberte Swann lui adresse un geste obscène.
Le côté de Guermantes est associé au