Dsp : avantages et inconvenients
RAPPORT TP DSP
2012 – 2013
Plan du rapport
I Parti théorique
Présentation de la DSP Numérotation Objectifs
II Partie expérimentale
II.1 Outil de developpement / démarche
II.2 Implémentation de la fonction de filtrage en langage C
II. 3 Implémentation en langage assembleur
II.4 Optimisation du code : buffer circulaire , parralelisme et pipelines.
II.5 Temps réel sans DSP / BIOS
II.6 Temps réel avec DSP / BIOS
III Conclusion
I Partie théorique
1. Présentation de la DSP
Un DSP est un type particulier de microprocesseur. Il se caractérise par le fait qu’il intègre un ensemble de fonctions spéciales. Ces fonctions sont destinées à le rendre particulièrement performant dans le domaine du traitement numérique du signal
Les DSP se déclinent suivant deux principales architectures :
Architecture de Von Newman : le programme et les données sont enregistrés sur la même mémoire. Chaque instruction contient la commande de l’opération à effectuer et l’adresse de la donné à utiliser.
Architecture de Harvard : les données et les programmes sont séparés. L’accès à chacune des deux mémoires se fait via deux chemins distincts. Cette organisation permet de transférer une instruction et des données simultanément.
Ce qui distingue deux DSP différents sont, pour les caractéristiques principales :
Son type : virgule fixe / virgule flottante.
Sa vitesse, exprimée en MIPS (Méga Instructions par Seconde), qui n'est pas obligatoirement représentative des performances du DSP. En effet, le nombre de cycles d'horloge par instruction peut varier d'un DSP à l'autre. De plus, cela dépend aussi de la complexité des instructions. Les instructions peuvent être basiques (lecture/écriture d'une donnée dans un registre) ou plus étoffées (chargement d'une donnée, élévation au carré, addition d'un registre avec l'accumulateur) compte-tenu de l'architecture