Agathe
GRANDMONT
1ES4 Commentaire comparé

Charles Baudelaire naît à Paris en Avril 1821 et décède à l'âge de quarante-six ans en 1867, dans les bras de sa mère. Si Charles Baudelaire se nourrit beaucoup de romantisme qui est l'expression de la sensibilité ; il n'en demeure pas moins qu'il s'est interessé à beaucoup d'autres sujets comme aux personnes agées, à la façon dont c'est le cas dans "Les petites vieilles" extrait des "Tableaux Parisiens" des Fleurs du Mal en 1861 et "Les veuves" du Spleen de Paris en 1869. Effectivement, Charles Baudelaire raconte tantôt en vers tantôt en prose les plusieurs fois où il a suivis des personnes agées en épiant leurs faits et gestes. Mais alors dans quelles mesures le poète peut distinguer "Les petites vieilles" des "Veuves" vis-à-vis du cadre et de la personne. La façon qu'a Charles Baudelaire d'observer et de décrire le cadre et le contexte feront l'objet d'une première partie de même pour une seconde partie en se concentrant sur la personne.

Tout d'abord, dans ces deux poèmes, Charles Baudelaire nous ennonce un cadre particulier. En effet, dans « Les veuves » il écrit une obsevation précise mais sans rentrer dans les détails en suivant la « vieille affligée » dans "je ne sais dans quel misérable café". L'auteur ne s'attarde pas sur des précisions et reste concis malgré le fait qu'il y en ait plus que dans « Les petites vielles ». La dimenssion temporelle de ces deux textes est belle et bien visible ; on sait que c'est « pendant de longues heures » qu'il a suivi la veuve. Baudelaire, dans son observation, insite beaucoup sur la notion du temps encore tout le long de ce texte comme dans « Les petites vieilles ». Ce cadre temporel est tout de même plus présent