Droit et equité
I. L'équité subjective dans le droit strict
a) Equité, ou le danger de la subjectivité
b) Un certain besoin de l'équité tout de même…
II. L'équité objective et le droit strict
a) L'équité objective, juridicisée
b) L'équité objective, au dessus du droit strict ?
Résumé
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Extrait du document:
En l'absence d'une réelle constitution et d'un code précis, l'Ancien Régime est marqué par l'utilisation de l'équité subjective à profusion. Les parlements et tribunaux statuent au nom de leurs convictions personnelles, ou dans le cas de nombreux juges, de celui qui les pait le mieux. Il y a tellement d'abus que le jugement en équité provoque une véritable terreur chez la population. Le droit n'est pas prévisible, il est irrégulier et subjectif. Chacun juge à sa manière, et n'a de comptes à rendre à personne.
La révolution française apporte la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen qui garantie l'égalité des hommes devant la loi, et bannit l'équité, mais sa vision