Doits d'inscription universitaires
En France en 2007 il y a eu une réforme de l’université avec la création d’une nouvelle loi en 2007. De cette façon, actuellement la plupart des universités sont obligées à utiliser le financement propre. Les moyens utilisés sont : dons d’anciens étudiants, créations d’entreprises, augmenter les droits d’inscriptions, produits brevetables, etc.
Les étudiants choisissent leurs universités en fonction du marketing que celles-ci font.
En France, les droits d’inscriptions que doivent payer les étudiants à l’université publique sont fixés par arrêté ministériel. Par contre, les universités privées sont libres de fixer leur prix. C’est cela qui leur a permis d’augmenter les tarifs les dernières années. Par exemple, les écoles de commerce ont même doublé les tarifs.
Certaines universités publiques agissent dans le même sens, en essayant de se distinguer avec des tarifs plus élevés.
Cette augmentation se justifie sur deux arguments : comparaison internationale et crise financière. Cette argumentation touche un nombre de pays croissant pendant les trois dernières décennies. La plupart des pays de l’OCDE ont récemment augmenté des droits de scolarité.
Aux États-Unis de nombreux étudiants ont été attrapés par la crise et ne pourront jamais rembourser les prêts obtenus pour payer leurs études. Les dépenses bureaucratiques sont plus élevées que celle de l’instruction de l’élève.
En Grande-Bretagne les droits autorisés se sont, dans certains cas, multiplié par trois.
En Espagne, le gouvernement a également autorisé l’augmentation de frais d’inscriptions d’un 10 %.
L’Allemagne change une tradition de gratuité.
Le Danemark et l’Irlande font payer les étudiants étrangers.
La France se situe dans une position intermédiaire. Droits d’inscription peu élevés mais systèmes de bourse pas développés. Le coût de la rentrée dans ce pays a augmenté de 50 % en 10 ans.
Le renchérissement de l’accès à