Doctorat
« Le Cochon, la Chèvre et le Mouton » est la douzième du huitième livre de Jean de la Fontaine 1621-1695, l’un des plus grands écrivains français. Ses Fables sont sans doute son chef d’œuvre. Les premiers 124 fables étaient dédies au Dauphin, le petit-fils de Louis XIV de six ans.
Les animaux sont en chemin pour se rendre à la foire. Seulement le cochon prend conscience de leur destin. La mort du cochon est certaine parce qu’il n’est bon « qu’a manger » mais on peut décharger « la chèvre de son lait, le mouton de sa laine ». Le charton dit au cochon qu’il devrait prendre l’exemple de la chèvre et le mouton qui sont sages et insouciants.
Comment la Fontaine oppose-t-il l’insouciance qu’il associe avec une certaine idée de la sagesse à la prévoyance qu’il associe à la prise de la conscience de la mort ?
On s’appliquera d’abord à voir comment Jean de la Fontaine montre l’insouciance comme force de sagesse. Ensuite on montrera comment la Fontaine utilise la prévoyance comme préparation a la mort. I. L’insouciance comme force de sagesse.
* Promenade * Insouciance – épicurisme * La sagesse de la chèvre et du Mouton
II. La prévoyance comme préparation à la mort.
* Le symbole du cochon * Réflexion sur la mort. * Stoïcisme
Parfois il vaut mieux ne pas connaitre son destin car on peut rester calme et insoucieux et apprécier la vie. Si on ne sait pas certaines choses, on n’a aucune inquiétude inutile. Il faut qu’on voir les choses d’un point de vue optimiste. Si on prévoit ce qui nous attend, on peut essayer à profiter mieux de notre vie. Tout le monde est destiné à mourir. Ni la peur et ni la plainte ne changeront le destin.
Si la chèvre et le mouton sont mortes aussi, ils finissaient leur vie sans peur parce qu’ils n’ont jamais pensé a la mort. Mais, en ce qui concerne le cochon, il finissait son vie sur un ton mélancolique car il savait son destin et il n’a fait