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Aujourd'hui, les économistes néoclassiques ne retiennent que les deux facteurs de production capital et travail. Le facteur capital se décompose en plusieurs sous-éléments :
le capital physique (immobilier, matériels de production, biens durables, etc.), qui s'accroît avec l'investissement et, sans investissement, décroît au fil du temps (selon un taux de dépréciation du capital) la force de travail des individus : leur énergie musculaire et leur endurance sous l'effort le capital humain, qui correspond aux connaissances accumulées par les humains et mobilisables pour travailler (apprentissage, formation d'ingénieur, expérience, etc.) le capital immatériel, terme développé par l'économie du savoir, qui correspond à la valeur accumulée par une entreprise sous forme d'organisation, de savoir-faire accumulé, ou d'image de marque. L'économie des pays développés dépend de plus en plus du capital immatériel on parle aussi de capital social, et de capital culturel, comme variables explicatives de l'amélioration de la productivité ne résultant pas des autres facteurs
Le facteur « terre et sous-sol » (d'ailleurs de plus en plus aménagé par la main de l'homme) fait partie du capital [réf. nécessaire] : soit comme une composante d'un facteur naturel plus large, les ressources naturelles incluant la biodiversité (la notion de capital naturel posant des questions sur le type de durabilité), soit comme la composante foncière du capital (propriété foncière).
Pour simplifier, les quatre principaux facteurs de production apparaissent de nos jours être les suivants :
le travail matériel, le capital naturel (la terre) [réf. nécessaire], le capital physique, le capital