Dans le cadre du cours de littérature et imaginaire, nous analysons un œuvre romantique intitulé «Le Dernier Jour d’un Condamné» écrit par Victor Hugo. Dans les parties précédentes, nous avons analysé l’écrivant en soit, nous allons maintenant discuter des idées dominantes du livre en lien avec l’époque. La peine de mort étant la plus dominante, nous allons la démystifier en abordant le point de vue de la société et les pensées du condamné.

La peine de mort est le sujet principal de l’œuvre présentée, mais elle est abordée sous différents angles. Tout d’abord, l’avis de la société face à cette peine est très important, puisque d’une part, la population a une influence par rapport à la constitution. La peine de mort était à son apogée, à cette époque, puisqu’elle était généralisée et banalisée. Dans l’œuvre «Le Dernier Jour d’un Condamné», nous pouvons percevoir le point de vue du peuple sous deux angles distincts. Premièrement, le peuple prend part à la guillotine puisqu’il éprouve un certain sentiment de vengeance, car cela est dans leur devoir de punir quiconque qui aurait désobéie au roi. On pourrait même penser que la société prend un minime plaisir à voir les gens se faire trancher la gorge sous leurs yeux. Dans la citation suivante : « Condamné à mort! Dit la foule ; et, tandis qu’on m’emmenait, tout ce peuple se rua sur mes pas avec le fracas d’un édifice qui se démolit.» , nous pouvons facilement imager le bonheur qu’éprouve les citoyens vis-à-vis la peine de mort. La guillotine devient facilement objet de «spectacles», car l’importance de la vengeance grandissante au sein de la société prend le dessus sur tout. Dans une autre citation, nous pouvons percevoir l’ampleur de la chose, la voici : « Le voilà ! Le voilà ! a crié la foule. Il sort ! enfin ! Et les plus près de moi battaient des mains. Si fort qu’on aime un roi, ce serait moins fête.» . À travers cette citation, nous comprenons que l’ambiance est très festive par rapport à cette