Disserte phèdre
La confession qu`elle fait à Hippolyte l`interroge et l`embrasse excessivement. < Ah Cruel ! tu m`as trop entendue> (V.1) le mot est celui qui représente Hippolyte. Elle affirme par cette métonymie que se sont des sentiments impossibles et qu`évidemment l`amour fait souffrir. Phèdre passe du au , le début de cette transition est un véritable aveu. < Tu m`as trop entendue > est un vocabulaire de révélation qui prouve qu`elle éprouve de l`amour pour elle. La captivation de Phèdre envers Hippolyte la submerge à un tel point qu`elle se sent perturbée et elle se détache d`elle-même pour se déculpabiliser. Le champ lexical du corps est présent. Phèdre est fautive de la situation entre elle et le fils de Thésée, C`est pourquoi elle met le blâme sur ses membres. Ce n`est pas elle qui a le béguin mais bien son cœur qui a de l`affection pour Hippolyte. Son bouleversement intérieur, qu`il soit physique ou moral, prouve qu`elle subit une légère mélancolie. Il est clair que selon Phèdre, Cette tendresse envers son beau fils est inconcevable. Phèdre est remplie de haine par la faute de l`amour. Elle est confondu à ses sentiments tout au long de l`extrait. Des mots allant en dégradant tel que < odieux >, < haine > et < inhumaine > , nous prouve que ce qu`elle ressent est inhumain, que toute cette volonté qui l`a emprisonnée pendant ce temps l`a réduite à néant. Elle n`a plus aucun mérite, cette dame, énormément en colère contre