Dissertations
Nous avons regardé en cours d’ethnologie, un documentaire réalisé par l’ethnologue Stéphane Breton en 2001. Il se trouvait en Nouvelle-Guinée dans un petit village où les habitants ne portent pas forcement de vêtement. Pour se faire accepter Stéphane Breton a apprit leur langue et leurs coutumes. Mais même avec plusieurs années à leur contacte, une certaine gène subsiste encore. Il a du mal à obtenir des informations, « son père » (un vieille homme qu’il a soigné) lui donne des informations et certains n’acceptent pas car il « s’enrichie sur le dos des autres ». Ce peuple a du mal à comprendre pourquoi cet homme blanc vient les voir et pose autant de questions. Il habite à l’écart et à toujours une caméra dans sa main, les hommes disent qu’elle est son arc (les hommes du village porte tous un arc).
Breton souhaite qu’ils s’intéressent à lui pour que lui ait le « droit » de s’intéresser à eux. Il donne de l’argent (la monnaie est le coquillage), du travail et des objets mais ce peuple ne retient de lui qu’un homme qui peut marchander, il devient l’épicier. Ces échanges lui on permit d’être mieux accepté.
L’ethnologue a un « fils » dans la tribu, un jeune garçon avait prit son parti contre les autres, Breton va lui apprendre à lire, écrire et l’aide à gagner de l’argent pour qu’il puisse avoir une fiancer. D’ailleurs le village va mieux l’accepter car il sera considéré comme l’homme qui aide les jeunes hommes à se marier.
A la fin du film nous voyons qu’il est bien accepté car son père et un homme lui disent qu’il peut revenir avec de la famille, il peut revenir car ce n’est pas un missionnaire et qu’il est « normal