« La jeunesse sait qu’elle n’est que le temps de l’ennui, du désordre; pas un soir à vingt ans où l’on ne s’endorme avec cette colère ambiguë qui naît du vertige des occasions manquées. » P.Nizan

Dans cette citation, P.Nizan parle de la jeunesse. Son point de vue est que la jeunesse provoque une colère et un vertige. On renonce la à vivre à fond. Lorsqu’on est jeune; on a pas d’expérience, on va à la découverte du monde inconnu. Le désir de la liberté suppose une forme d’ennuie et de désordre. Cependant, nous nous interrogeons beaucoup. Que dissimule-t-on? Peut-on s’abstenir de dissimuler? La jeunesse comment est-elle perçu par les jeunes d’hier et d’aujourd’hui? La conception de l’auteur est que la jeunesse est prédite à l’avance comme si l’on prenait le vécu des autres pour sien. Elle est synonyme d’ennuie et de désordre. Alors qu’au contraire renoncer à la jeunesse mène à la colère, aux regrets et un vertige constant. Certes, la jeunesse est préférable à l’âge adulte, mais elle n’est pas toujours possible. La conception de Nizan est que la jeunesse est insatisfaisante.

Si les parents croient que ce qui compte pour leur enfant est de leur obéir à tout et de faire ce qu’on leur dit, c’est négatif d’un certain sens. Alors tu n’a pas de devoir? Demain, tu as cours à quel heure? C’est si bien comme ça le soir, le week-end toute la famille réunie. Si les parents ne vivent qu’à travers leurs enfants, comment les enfants se sentent-ils? Deviendraient-ils comme des enfants abandonnés par leur papa-maman? Ou voudraient-ils tout simplement profiter de leur jeunesse? Il n’y a qu’à cette âge là qu’on peut y prendre goût.
La jeunesse est entre deux, on n’est passé du statut d’enfant et on entre dans le statue d’adulte sans être autant desponsable qu’un adulte. Celui de l’enfant est bien défini: il va à l’école, joue avec ses petites voitures ou ses poupées, travaille. Il n’a pas le droit de fumer, de sortir, d’entrer boire dans un bar. Il doit se coucher à l’heure