dissertation
La fierté de la Belgique, c'est bien son vécu, son histoire, ce qu'elle a enduré depuis des décennies. A combien de guerres la Belgique a t'elle fait part? Combien de pays a t'elle du affronter? Des dizaines et malgré cela, notre Belgique reste forte! Elle perdure! Plusieurs pays ont disparu après affrontements, plusieurs pays se sont fait oublier après avoir fait face à d'autres, qui eux, ont pris le dessus. Mais ce n'est pas le cas pour nous les belges!
Notre pays fait bien notre fierté, mais une chose me perturbe là-dedans, le fait que l'on s'attache un peu trop à notre histoire, ou plutôt à l'histoire de notre pays.
En effet, cela me perturbe car comme Amin Maalouf, célèbre écrivain franco-libanais, l'a dit dans son œuvre intitulé "Les identités meurtrières": « Ce serait même désolant pour un peuple, quel qu'il soit, que de vénérer son histoire plus que son avenir ».
Je me suis donc posé la question suivante : «devons nous fatalement laisser de côté, voir oublier notre passé, notre histoire, pour pouvoir progresser dans la vie et donc aboutir vers un avenir meilleur? » . L'objectif est donc de démontrer, par divers arguments, si le fait de négliger son passé est un fait inévitable pour le progrès de la société, d'un peuple. Les arguments qui reviennent le plus souvent peuvent être favorable à la question posée, mais bien entendu également défavorable: le fait que le passé permette à une faute, de ne pas se reproduire une deuxième fois, qu'il permette également de faire de meilleurs choix pour l'avenir, que le passé mérite d'être oublié pour un avenir meilleur et ainsi qu'il devrait être oublié pour un futur plus prometteur .
D'un premier point, qu'est ce que le progrès? c'est pas définition "Évoluer vers un stade plus avancé, plus perfectionné ou plus favorable" (Larousse), or pour s'améliorer, il faut apprendre de ses erreurs. Un peuple, son pays, peut-il vraiment progresser s'il néglige son histoire, s'il ne tient pas en