dissertation
Tout d’abord, on peut considérer la mémoire flash comme une menace pour l’environnement. En effet nous avons vu que la mémoire flash est composé de certains éléments chimiques, représentant un risque significatif pour notre environnement, tel l’oxyde, le nitrate, et le lithium, très corrosifs, et très polluant dans l’eau , ce qui fait d’elle une menace non négligeable si on ne les recycle pas.
De plus, en dehors des menaces écologiques, la mémoire flash n’est pour le moins le moyen de stockage offrant une grande capacité, malgré les promesses, révélant une capacité atteignant 2 To qui est aujourd’hui limité à environ 1To. Son coût moyen qui est relativement élevée si l’on compare avec les disques dur (le prix de Go d’une mémoire flash est presque 100 fois plus élevé que celui d’un disque dur).
Un autre point important est sa durée de vie, deux raisons principales rendent celle-ci limité :
-Primo Nous avons éclairé précédemment le mécanisme de la mémoire flash qui est composé de cellules fait notamment d’oxyde, les électrons traversent cet oxyde pour passer dans la grille flottante, cependant il arrive que certains électrons, restent « bloqués », restent captifs de cet oxyde et soit relâché plus tard ce qui a des conséquences direct sur la perturbation des écritures et la lecture.
-Intervient ensuite la structure de la grille flottante. Celle-ci peut être endommagé voir inutilisable avec le temps du fait des tensions élevées. Elle possède donc un nombre limité d’écritures soit 100000 pour les SLC (les