Dans le manque de conciliation entre la vie personnelle, familiale (familière) et de travail la société espagnole a l'un de ses plus graves problèmes pressants. Il (elle) se sous-trouve(sous-est couché), d'un fait, dans beaucoup d'échecs personnels, matrimoniales, même des professionnels (professionnelles).
Quand le travail envahit la sphère privée des personnes, celles-ci deviennent irritables, plus enclines à subir des maladies et accidents, peu compréhensives avec les intérêts de l'entreprise quand propres les leurs n'ont pas vu respectés...
En Espagne nous passons beaucoup d'heures au travail, et cela suppose une perte de qualité de vie que, sincèrement, nous ne nous méritons pas. Et aussi une diminution dans notre productivité. Nous devons apprendre à travailler mieux dans moins de temps. Un homme ou une femme vainquent plus ceux que, pour qu'ils(elles) puissent être avec sa famille, il leur est permis de travailler un jour par semaine depuis une maison - en se servant pour cela des technologies de l'information et des communications-; ou choisir part de son horaire en fonction de comment ils(elles) ont sa vie organisée; ou accomplir une journée intensive pour sortir d'avance... De plus, les entreprises qui ne font pas attention aux requêtes de ses employés se risquent à perdre ceux qui ont plus un talent. Sans doute, la conciliation est rentable.
Pour favoriser la conciliation, nous avons à changer substantiellement nos horaires, en les faisant plus rationnels et flexibles, en définitive plus d'humains. Depuis la Commission Nationale que je préside, nous croyons qu'il faut mettre une fin à la journée traditionnelle "à l'Espagnole" des horaires interminables, et tendre à une journée "à l'Européenne" qu'il (elle) nous aide à concilier. Et voilà qu'il faut déjà le faire.
Les nouvelles technologies, s'ils(si elles) sont convenablement utilisés, nous peuvent aider à tirer plus divisé au temps et à concilier mieux. Je mettrai un exemple : les vidéoconférences