Ton visage est si fin, les courbes de ton corps sont si finement dessinées. T’es yeux pétilles encore, tu dois sûrement regarder quelque chose qui te fais rêver, peut être ce garçon que tu regarde au loin qui fais rougir tes petites joues roses. T’es cheveux tombent sur ton visage comme tombe la rosé du matin, tout est si doux, ton visage paraît apaisé, comme si tu t’étais évadé dans un autre monde. Il faut dire qu’en ce moment ta vie n’est pas rose comme celui de tes joues. Il faut avouer que tu as sûrement besoin de cet autre monde, tu as sûrement besoin de penser à autre chose. Il faut dire que ton blush arrange la couleur terne de ton visage, et nous fait croire que tu t’accroches à un espoir, comme tu pourrais t’accrocher à moi. Seulement moi je suis partie, oui moi je t’ai lâché. Et tu t’es accrochés a moi, tu m’as supplié, & je ne comprends pas vraiment comment tu arrives encore à paraître si apaisé, si sereine. Tu as toujours été doué pour te cacher de la vérité, tu as toujours réussis à donner une autre image de toi aux autres, & j’ai toujours admiré ça ! J’ai toujours admiré ton courage et ta force.
Tu vois tu souris bêtement, tu me regardes et tu esquisse un sourire au coin de ta lèvre rosée. Tu essai de me montrer que tout va bien, que tu va bien, que tu es contente de me voir. Oui tu aimerais que je crois ça, je te