Le débat sur l’école et l’égalité des chances reste à ce jours d’actualité. En effet, la variation des résultats scolaires en fonction de certaines zones géographiques et leurs débouchés laissent aux annalistes des questions à se poser. L’écoles peut être qualifiées de structure accueillant des personnes scolarisées afin de leur donner un enseignement collectif. Cependant, nous pouvons nous demander si les écoles françaises suivent la devise de la république qui avance l’égalité. Nous verrons donc dans un premier temps la mobilité sociale apportée par l’école, puis dans un second temps nous nous demanderons si cette égalité n’est pas un peu utopique.

Nous pouvons donc constater que malgré le fait que l’école souhaite donner à chaque élève les même chances de réussite et les même possibilités avenirs, l’école possédait tout d’abord un rôle de cohésion sociale. Cette cohésion sociale est alors un grand avantage quant aux rapports sociaux. Les individus seraient alors plus à leur aise lors d’une rencontre de n’importe qu’elle nature, mais cette notion peut aussi être reliée à celle de la mobilité sociale. Cette mobilité sociale est recherchée constamment pour la progression de la société. Ainsi, on constate que le niveau d’études moyen a largement grandit depuis soixante ans: le «Brevet des collèges» était alors ce niveau moyen. Aujourd’hui, c’est le baccalauréat qui l’est devenu. Cette mobilité sociale, idéologiquement devrait placer les individus les plus performants aux plus hauts postes et les moins qualifiés aux plus bas. Par exemple, les étudiants à l’ENA se retrouvent souvent avec les postes les plus «prestigieux». L’école devient donc une infrastructure permettant la cohésion sociale. L’Etat a donc réussit à donner ce rôle au système scolaire grâce à une démocratisation du système scolaire sur le long terme. Pour poursuivre cet objectif «d’égalité des chances», L’Etat et ses institutions tentent de démocratiser le système scolaire. Par exemples les