Dans le livre « Le Capital » de Karl Marx, celui-ci dit « Le règne de la liberté ne commence, en réalité, que là où cesse le travail… ». Tout d’abord étymologiquement en latin le travail qui s'écrit « tripalium » correspond à un instrument de torture. Et la liberté signifie l'état d'une personne qui ne subit pas de contraintes, de soumissions, de servitudes exercées par une autre personne. C'est aussi l'état d'une personne qui n'est ni prisonnière ni sous la dépendance de quelqu'un. On peut alors se demander comment une activité qui est à la base celle de la torture peut-elle devenir créatrice de liberté ? On peut se poser cette question pour savoir si en travaillant on va pouvoir trouver une certaine source de liberté qui pourrait donner alors envie d’y aller ou si le travail est seulement source d’asservissement et qu’on y va seulement car on pense que c’est un devoir. Donc est-ce qu’on travaille seulement car c’est un devoir pour bien gagner sa vie et pour plus tard ? Ou bien travaillons-nous pour nous procurer une certaine liberté? Mais au niveau du travail ne nous-sentons pas aussi libre et asservi en même temps ?
Tout le monde doit travailler pour gagner sa vie et assurer sa vie plus tard mais pour cela on doit non seulement être asservi par une personne qui donne des ordres au travail mais aussi par l’Etat. On est obligé de travailler si on veut toucher une retraite plus tard mais en plus de cela on est aussi obliger de respecter tout ce que décide l’Etat car c’est eux qui décident combien d’années on doit travailler pour toucher une retraite et si on ne respecte pas ces « ordres » on ne touchera pas notre retraite ou une retraite plus faible. En plus on se sent obliger de travailler pour pouvoir faire vivre les personnes âgés car sans notre travail elles ne toucheraient pas leur retraire, tout le monde pourrait décider d’arrêter de travailler pour payer les retraites des personnes âgées mais nous décidons de ne pas nous arrêter car lorsque ça sera