La légalisation du dopage dans le milieu sportif.

De nos jours, dans le secteur sportif, une certaine pratique dangereuse pour la santé est de plus en plus utilisée. Celle-ci consiste à prendre des substances ou avoir recours à des actes médicaux afin d’augmenter artificiellement ses capacités physiques ou mentales. Que ce soit chez les sportifs ou les étudiants/adultes actifs dans le cadre du travail, le but reste le même, atteindre le top du top grâce aux drogues. Dû au fait que Lance Armstrong -Grand coureur cycliste ayant gagné de nombreuses médailles et participé plusieurs fois au tour de France- aie avoué avoir pris des stupéfiants lors de sa carrière, un débat s’est mis en place. Devrait-on considérer cet acte comme de la tricherie ou tout simplement un moyen d’améliorer ses capacités ? Faudrait-il légaliser le dopage dans le milieu sportif ? Pour cela, nous étudierons tout d’abord la notion de triche dans ce domaine ainsi que les séquelles qui suivent une stimulation « régulière », puis nous verrons si lors des compétitions, les concourants sont tous égaux mais aussi le fait d’accepter ou non ces techniques qui deviennent de plus en plus fréquentes.

Tout d’abord, la légalisation du dopage reste en « stand-by » car les opinions restent mitigées. Yannick Noah, ex tennisman, a annoncé être favorable à la légitimation des substances dopantes. « Aujourd'hui, le sport, c'est un peu comme Astérix aux Jeux olympiques : si tu n'as pas la potion magique, c'est difficile de gagner. » Sachant que de plus en plus de stupéfiants restent inanalysables dans le sang, le légaliser serait mieux pour tous les sportifs, de ce fait, ils seraient tous égaux. Dans le cyclisme par exemple, si tout le peloton a recours à ces méthodes, ils seront tous aussi forts les uns que les autres, et l’intérêt de regarder des gens se battre pour savoir lequel à le meilleur médecin et lequel à les meilleurs comprimés deviendrait totalement absurde. Le sport