Dissertation sur la violence et la pensée
La création de l’univers est née d’une explosion, les catastrophes naturelles témoignent d’une violence immensurable, les animaux usent de la violence afin de survivre, cette dernière qui se trouve à la base dans la nature mais qui est amplifiée par l’homme vivant dans une société qui aspire à la non-violence, mais qui use toujours et encore de la force afin de régler ses problèmes. Nous sommes donc en droit de nous demander quel est le contraire de la violence. La douceur nous vient en premier à l’esprit, mais la pensée, comment pourrait-elle être le contraire de la violence, elle qui est intérieure et subjective, mais qui peut amener le dialogue et ainsi la désarmer sans oublier qu’elle est étroitement liée à la violence psychologique et qu’elle permet également la transmission d’idées néfastes.
Penser nous permet de combiner des idées, de concrétiser un projet et d’atteindre certains buts, alors que la violence relève de la brutalité et n’a pour objectif que de faire du mal. En effet, nous vivons dans une société qui pense que seul la violence peut faire cesser la violence, c’est notre côté primate qui le veut et qui nous pousse à appliquer la loi du talion1 << œil pour œil, dent pour dent >> qui était destinée au XVIIIe siècle à lutter contre une escalade inconsidérée de violence. Il faut donc s’obliger à penser et à se raisonner afin de ne pas succomber à la violence, et prendre comme exemples certaines grandes figures du XXe siècle tel que Ghandi, qui a permis l’émancipation de l’Inde de l’Empire colonial anglais avec le principe de l’ahimsha, qui désigne l’abstention de la violence qui est fondé sur la force de l’amour et de la vérité.
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Penser permet de mener une réflexion, de développer des idées et de les partager avec ses semblables, et ainsi amener le dialogue et désarmer voir