Dissertation sociologie
Le travail à rendre tiendra en 3 pages maximum tout compris ;
– une introduction intégralement rédigée et quelques pistes de conclusion (résumé et ouverture du sujet) ;
– deux niveaux de titres : parties (I.) et sous-parties (A.) ;
– pour chaque sous-partie : plusieurs points, qui prendront la forme de quelques lignes présentant : idées/concepts, auteurs, exemples (attention, les exemples ne sont pas des idées) ;
– nombre de parties ? Il est plus simple, au regard des canons de construction des plans dans les formations juridiques, d’employer la forme « deux parties + deux-sous parties » (I. A.B. + II. A.B.), mais un plan en trois parties n’est pas interdit.
Introduction : il est possible de s’inspirer de la méthode dite « D. LACHAIT » pour ne pas oublier tout ce que peut contenir une introduction, qui n’est pas le traitement du sujet (rappel : Définition ; Limites du sujet ; Actualité ; Comparaison ; Histoire ; Annonce du plan ; Intérêt ; Théorie), avec une insistance sur la problématique qui doit apparaître clairement. La problématique puis l’annonce du plan sont les éléments qui apparaissent à la fin de l’introduction.
Développement : le but est de développer une analyse à partir de la problématique élaborée en introduction. Il existe donc forcément plusieurs manières d’organiser son plan. De nombreuses associations-types (thèse/antithèse/synthèse, intérêt/limites, objectifs/résultats, causes/conséquences, structure/conjoncture, proximités/nuances, prescriptions/pratiques, etc.) permettent d’articuler la réflexion. Elles ne reflètent pas nécessairement la manière d’organiser son plan. Les exemples mobilisés peuvent être de tout ordre (pays, organisations, institutions, facteurs historiques, groupes sociaux, etc.). Ne pas utiliser trop d’exemples par sous-partie, mais privilégier quelques illustrations éclairantes, et les développer en quelques mots.
Conclusion : elle doit, à partir du développement