Français : Dissertation

La maladie qu’est la dépression existe depuis toujours, et elle est de plus en plus présente depuis quelques années. Cette maladie est principalement le résultat d’un manque, d’une absence de bonheur. A l’instar d’autres maladies, pour soigner la dépression, il faut absolument en trouver les causes, l’origine du manque. Au cours de cette dissertation, je ne donnerais aucun remède miracle, j’ouvrirais par contre des portes, des voies qui porteront à la réflexion. Ce qui pose réellement problème, c’est de savoir si on peut qualifier le bonheur d’un travail sur soi-même, et non pas d’un instant, d’une expérience de vie. Pourquoi le bonheur ne serait-il pas le résultat d’un fait marquant ? La science, comme les choix de vie et de pensée, tente de nous prouver que le bonheur serait le fruit de notre vision et perception de la vie. Tandis que d’autres modes de vie nous affirment le contraire.

Une étude scientifique intéressante a démontré que la présence d’un certain gène, le 5HTT serait à la base du bonheur. De la sorte, en fonction de ce dernier, nous serions prédisposés à être plus ou moins dépressifs, pessimistes ou au contraire, joyeux. On peut aussi observer qu’il existe différentes façons, capacités à interpréter, et percevoir le bonheur. Maeterlinck met cette aptitude en avant au moyen de « L’Oiseau bleu », une pièce de théâtre. A cela peut s’ajouter certaines philosophies de vie, comme le stoïcisme, ou l’épicurisme. En effet, c’est en adoptant un courant, que l’on peut changer la façon de voir les choses, de les vivre. Un exemple, celui du Carpe Diem est discutable, dans le sens où il peut être interprété de deux façons. Le cas qui nous intéresse est celui où nous prenons le Carpe Diem pour philosophie, et non pas au sens littéral du mot. Nous sommes alors aptes à prendre le bon coté des choses, à éviter de pleurer sur notre sort. Les idées qui sont en désaccord avec La Rochefoucauld se font plus rares. Dans un premier