Dissertation fin inattendue ou pas
Ces derniers siècles ont amené différents types de mouvements littéraires avec des auteurs à but divers. Une histoire possède un début suivi de plusieurs étapes qui suivront les pas des personnages principaux et arrive éventuellement à une fin. Soit cette dernière est préparée dès le début, c’est-à-dire qu’elle est clairement annoncée ou qu’elle est très prévisible ou alors, au contraire, le lecteur sera surpris voire choqué de la fin.
Une bonne histoire consiste à avoir un champ lexical développé, de l’imagination et une bonne intrigue. Cependant, certains ont la réflexion de dire ce qui caractérise une bonne histoire est la fin, mais ceci est-il vrai ? Pour répondre à cette question, on analysera quelques œuvres comme Macbeth ou Les Misérables ou bien Les dix petits nègres et on s’intéressera en tout premier lieu à la prévisibilité suivie de l’inattendu et on terminera avec ce qui définit une « bonne » histoire.
Les histoires dont la fin est connue sont présentes dans plusieurs genres littéraires : En tout premier lieu, il y a les histoires dont la fin est logique. C’est le cas pour les contes ou les fables, car la fin se termine par une morale et dans les contes, surtout pour les enfants, la plupart des fois, les « méchants » sont punis. On a l’exemple de la fable de La Fontaine « La cigale et la fourmi » où on voit la cigale qui chantait et la fourmi qui travaillait pendant l’été. La cigale chantait, mais la fourmi travaillait pour avoir des provisions durant l’hiver ; quand l’hiver arriva, la fourmi était très à l’aise dans sa maison alors que la cigale avait froid, n’avait rien à manger et pas de maison où rester.
Un autre exemple classique est le film de Disney qui s’intitule « La Petite Sirène » étant adapté d’un conte de Hans