Lors du 19e siècle, Louis Napoléon Bonaparte est élu président de la deuxième République et instaure le régime autoritaire du Second Empire. Cela a pour effet, sur le peuple français de l’époque, d’emmener une crise financière et de catégoriser les classes sociales. Se détachant du courant littéraire romanesque, Guy de Maupassant veut donner sa vision du monde qu’il côtoie dans sa littérature. Il délaisse alors l’idéalisme romantique et opte pour le courant littéraire réaliste. Sa nouvelle nommée La parure est d’ailleurs un clin d’œil lié à la situation sociohistorique de son époque. En effet, Guy de Maupassant utilise l’esthétique réaliste en employant les inégalités sociales que vivent les gens de la classe moyenne et se sert aussi de la superficialité.

Tout d’abord, les écrivains de la littérature réaliste s’inspirent fortement des inégalités sociales qui les entourent, pour représenter la réalité. Dans sa nouvelle, Guy de Maupassant utilise la misère pour désigner la classe sociale misérable des gens d’autres fois. En fait, l’environnement dans lequel vit le personnage principal est omniprésent dans le court récit. Avec ses énonciations, le nouvelliste explique comment l’endroit dans lequel vit la jeune dame est intégrer des inégalités sociales, telles que : << elle souffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l’usure des sièges, de la laideur des étoffes. >> (La parure, p.119). Suite à cette énumération, Guy de Maupassant incorpore et illustre la misère que vit la jeune dame à travers ses quelques lignes. Autrement dit, on évoque cette idée de dure réalité du statut socio-économique, dans l'environnement dans laquelle vit Mathilde.

Ensuite, l’écrivain transmet envers Mathilde, le fait de consentir son classement social puisque celle-ci, au début de la nouvelle, se meurt de devenir une personne riche et reconnue. La nouvelle va suivre de cette progression envers son acceptation à son statut social, mais par malheur