C’est à la fin du 19e siècle que le genre littéraire fantastique s’impose en France en réaction au réalisme. Souvent incohérent et chaotique à ses débuts, le genre fantastique se raffine au fur et à mesure qu’il se développe, adoptant des caractéristiques bien spécifique. Les contes de Guy de Maupassant, auteur de cette époque, sont considérés comme étant typique du fantastique, mettant en vedette l’irruption du surnaturel dans un monde réel. Nous allons démontrer que le conte ‘‘Le Horla’’ de Guy de Maupassant correspond au genre fantastique. C’est à l’aide des conditions et des caractéristiques du fantastique présentes dans ce conte que nous ferons notre démonstration.

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C’est un peu plus loin dans la lecture de ce roman que nous découvrons que Carmen affecte les valeurs morales d’un autre personnage et cette fois, encore plus durement; il s’agit de Don José.
Son amour passionnel pour Carmen l’amène à transgresser ses valeurs jusqu’à un point de non-retour.

À première vue, Don José, ce soldat pour qui l’honneur, l’obéissant, la vaillance et le devoir civique sont des principes fondamentaux, semble être imperturbable dans ces valeurs.
Ainsi, lorsque Carmen lui envoie, dissimulées dans un pain, une lime et une pièce de monnaie afin qu’il s’évade de la prison dans laquelle il est enfermé, il refuse catégoriquement de les utiliser : ‘’ En une heure, le plus gros barreau était scié avec la petite lime; et avec la pièce de deux piastres, chez le premier fripier, je changeais ma capote d’uniforme pour un habit bourgeois. (…) mais je ne voulais pas m’échapper. J’avais encore mon honneur de soldat, et déserter me semblait un grand crime.’’ Bien qu’il sache que ces outils lui permettraient aisément de recouvrer sa liberté, il préfère rester en prison plutôt que de déroger à ses principes.
D’ailleurs, lorsque, en entendant les tambours militaires qui lui dicte de rentrer à la caserne, il dit à Carmen qu’il doit la quitter immédiatement malgré le bon moment