En effet ce nouveau phénoméne de vouloir tout réduire au milimetre n'est pas si innocent qu'on pourrait le penser, suite à cela « le principe de precaution s'impose », selon l'agence santé et environnement ( Afsset) qui recommande un étiquetage clair, voire des interdiction. Certains pensent que le risque de consommé ces produits est minime mais en cas d'absence de certitude scientifique il est necessaire d'avoir un principe de précaution.Dans ce nouveau procédé le principe de précaution est très clair, son application exige de ne pas se lancer aveuglement dans la production de nanoparticules. Il faut faire préalablement progresser la recherche et ne donner l'autorisation aux produits nanotchnologies qu'au « coup par coup ».; car ce dévellopement devrait produire de multipe effets qui peuvent conduire à des changements très important de la condition, voire de la nature humaine et dont on ne peut dire a priori s'ils seraient ou non favorable à l'homme, ce sont par exemple des transformtions du corps humain qui serait rendue possibles...
« Les nanos sont maintenant présent dans tout notre quotidien », a déclaré le directeur général de l'afsser Martin Guespéreau, en présentant devant la presse un rapport sur les risques liés aux nanomatériaux pour les consommateurs et pour l'environnement. C'est pour cela que sera mis en place un étiquetage clair, assurer la traçabilité des nanomatériaux.Ce principe est juticieu car beaucoup d'effets sont mal connus par exemple plus de mille produits de consommation quotidienne ( raquette de tennis; sel de cuisine, vëtements...) comportent de ces nouvelles technologies mais nous comsommateurs ne somment pas tourjour au courant de ça...Face à ce probléme monsieur Guespéraux veut accélerer la recherche afin de mieu connaître les risques sur la santé et l'environnement, il ajoute même que dans certains cas il faudrait envisagé des interdiction.L'Afsset a etudié 4 des 246 produits de consommation avec nanos identifiés sur le marché