Dissert
La recherche du bonheur est un sentiment universel, nul ne peut être heureux et tout le monde le recherche. Le bonheur est le but de la vie, il faut donc tout faire pour être heureux, et on peut estimer avoir bien vécu quand la vie qu’on a menée peut globalement relever de cette idée. Nous avons tout d'abord dit que les sentiments relevaient de la sensibilité, et non de la raison? Mais il y a un probleme : les sentiments ne se valent pas, ce qui prouve que de toute manière que nous les soumettons préalablement à la morale ; de sorte que sous le contrôle de la morale une vie affective est non seulement possible mais souhaitable. Si la recherche du bonheur pour soi procède d'un principe immoral, rien ne serait plus absurde que d'imaginer qu'il y ait de l'immoralité à être heureux.
Il souligne ainsi qu'on peut supposer cette fin réelle chez tous les êtres raisonnables L'impératif le concernant devient donc nécessaire. Ainsi la recherche du bonheur trouve dans son universalité la possibilité d'être légitimée comme devoir indirect. De plus, le malheur rend plus difficile l'action à effectuer, de sorte que nous avons le devoir de nous mettre dans les meilleures conditions possibles pour accomplir notre devoir, autrement dit de travailler à notre bonheur.
CONCLUSION : Nous sommes partis d'une idée conrète, c'est à dire que la recherche du bonheur n'est pas un devoir, mais après reflexion, nous avons montré qu'il y avait une part de devoir dans cette recherche universelle. Le bonheur, tout le monde le recherche, de manière inconsciente, ou non. Ainsi, la recherche du bonheur est un devoir indirect et inconscient, inconscient, qui vise à nous faire tendre vers cette fin. Ce devoir inconscient peut être réalisé par nous même ou bien par notre